Gilbert Schulé Artiste peintre
  Curriculum vitae
         

            

 

 

Gilbert SCHULÉ

LE GENIE DE LA PEINTURE TECHNOCHAOCINETIQUE

Gilbert Schulé est né en 1946 à Payerne, en Suisse, une petite cité de la Broye vaudoise. De ses origines ou de son passé de garde-forestier, Gilbert Schulé conserve au fond de son cœur une tendresse pour les arbres, les grands espaces. La découverte il y a quelques années de Taulignan, ce coin typique de la Drôme provençale aux couleurs à nulles autres comparables, a ajouté à ses créations d’artiste non conventionnel
des teintes éblouissantes. Aujourd’hui, ses créations, au style mécanique surprenant, où la transparence et la profondeur s’entrecroisent, vous incitent à l’évasion dans son monde imaginaire. Avec cette la force lumineuse d’une explosion de vie dans un univers sublime et réconfortant.

De ses débuts, Gilbert Schulé garde un souvenir très précis du temps où les touristes s’arrachaient ses pyrogravures, cet art populaire autour de Fribourg. Son amour pour la forêt lui insuffla la magie d’utiliser
es veines du bois pour créer des ciels majestueux, où pyrogravure et pastel se fondent en douce harmonie.
En s’écartant des sentiers battus, il est devenu dans cette recherche instinctive d’une «troisième dimension», un de ces poètes de la couleur qui vous réinventent le soleil et la lune.

Pourtant, il a fallu l’insistance de ses amis bûcherons pour qu’un jour de 1987, Gilbert Schulé concrétise ce rêve né d’une boutade, un défi face à tous ceux qui peignent des mille et une façon des plus extravagantes : «Je peindrais à la hache, à la tronçonneuse. Moi aussi je deviendrais célèbre!». Il se lance à corps perdu
dans la peinture, travaillant parfois jour et nuit, multipliant ses expériences à la vitesse de l’éclair. Car il faut dire que la première œuvre exposée avait suscité l’intérêt général des visiteurs.

Autodidacte, féru de musées et de galeries, Gilbert Schulé découvre l’abstrait, après une période naïve, faite d’arbres bouclés et de personnages dessinés au trait blanc. Sur un fond de grand soleil, de l’angle saillant de sa hache solidement tenue en main, il laissait dégouliner le fil blanc. Des tableaux où le «dégouliné instinctif» donne naissance à des scènes de la vie quotidienne et invite à la convivialité.
 

                                                 
 

GILBERT SCHULE… INITIATEUR DU MOUVEMENT DE LA PEINTURE MECANIQUE

Aujourd’hui, Gilbert Schulé utilise toutes sortes de petites machines forestières pour réaliser ses œuvres.
Les tronçonneuses dentées de son «pointillisme mécanique» lui permettent de réaliser des portraits ou plonge le visiteur dans le rêve, lorsque la tronçonneuse sans dents sur fond de «graphisme mécanique» gratte doucement la toile. La scie sauteuse, le taille-haies, la débrousailleuse tirant et mélangeant la peinture, le scarificateur imprégnant des courbes que nul compas ou ficelles ne peuvent offrir, toutes ces techniques entrent dans la conception d’un tableau où l’art «technochaocinétique» peut pleinement s’exprimer. Avec une obsessionnelle présence du cercle, cette spirale féérique où l’oeil finit par se perdre dans la profondeur du tableau.

Original dans sa façon de peindre, Gilbert Schulé peut l’être aussi dans sa manière d’exposer. Exposer dans les bois, il l’a fait à deux reprises. En 1987 et 1991, l’année du 700e de la Confédération helvétique : C‘HACHE 91 où quelque 60 œuvres étaient suspendues à la cimaise des arbres. L’an suivant, il innovait en exposant sur la glace du lac de Champex. Jusqu’à ce jour, plus de 40 expositions personnelles ont fait le bonheur de dizaines de milliers de visiteurs.

Depuis quelques années, les tableaux de Gilbert Schulé ont gagné en intensivité lumineuse. Il n’est plus réticent à utiliser des couleurs vives pour s’évader dans des toiles parfois de très grand format, tout en évoluant avec bonheur vers cette 3e dimension. Gilbert Schulé a créé un véritable style de peinture mécanique, très élaboré et maîtrisé avec génie. Une peinture certes à risques, mais oh combien jouissive.

Jean-Louis Genoud

Bref aperçu des expositions, radio et télévision

Reportage de S. Herzog repris par la TSR pour le TJ romand, Suisse alémanique et tessinois (91), TF1 «Cou-Cou c’est nous» de Christophe Dechavanne (93), France 3 Bourgogne-Franche-Comté (97), TSR2, reportage de J.-A. Schneider (97), TSR1 et TSR2, «De si de la» (98) et TSR1, reportage d’Olivier Mizel (99).

Radios : La Première avec Daniel Fazan (92, 93), Liliane Perrin (94), Patrick Lapp (94), Alexandre Chatton (97). Espace 2 avec Sarah Dirren (93), Jacques Briod (97). Radio Fribourg, RTN 2001, Radio Chablais.

Expositions : Payerne, Avry-sur-Matran, Lausanne, Château d’Oex, Chernex, Morges, Vevey, Romont, Champex (sur le Lac), Yverdon, Nyon, Granges-sous-Trey, Fribourg, Dudingen, Valeyres-sous-Montagny, Walliselen, Gryon. A l’étranger : Paris (Galerie de la Porte de la Suisse), Paray-le-Monial (Bourgogne), Taulignan (Drome).

                  
 

 

                        ma galerie de Granges-sous-Trey                                                          mes outils de travail

 

                   Aperçu de mes techniques de peinture.


                       peinture à la hache

                       peinture à la hache (noir/blanc)

                       peinture à la tronçonneuse

                       peinture à la tronçonneuse en forêt

                       peinture au dégouliné instinctif

              peinture au dégouliné instinctif (noir/blanc)

 

               si vous désirez voir mes dernières
               créations voir la page "Galerie virtuelle"


 

                                                     

                                                                                                                   

 

 

 

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